Fonctionnement du forum
Après avoir cliqué sur forum, dans la page d'accueil, j'ai eu accès à une page me présentant deux liens: discussion générale et, à droite sstapinsky (dernière réponse). J'ai d'abord cliqué sur Stéphane Stapinsky pour aboutir à son profil. Je suis revenu à la page précédente et j'ai fait la bonne manoeuvre pour accéder au texte de Stéphane: j'ai cliqué sur discussion générale, puis sur Fondements ou accommodements; cela m'a donné à mon texte. Celui de Stéphane se trouve juste après. Aurais-je pu accéder directement au texte de Stéphane?
yves_sa
lun, 08/26/2013 - 07:26
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Liste des documents
Dans l'introduction, on parle de 24 documents.
Dans la liste "Catégories", j'en compte 25. Peut-être que le titre "Phylia" fait double emploi avec un autre?
Jacques Dufresne
lun, 08/26/2013 - 10:06
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25 ou 24 documents?
Je vais corriger l'introduction. La philia (au sens d'amitié qui fait les communautés) a une longue histoire. C'est le nom que nous avons donné il y a quelques années à un projet, réalisé en commun avec l'Arche Canada et Plan Advocacy Netword. Notre approche était la suivante: de quoi une société se prive-t-elle en n'intégrant pas (ou mal) les personnes vivant avec un handicap et les personnes différentes en général? Nous mettions moins l'accent sur les droits que sur les obligations de ces personnes. Le site appartenance (appartenance-belonging.org) se situe dans le prolonguement de ce projet...qui a donné naissance à un autre site: Philia.ca. (http://philia.plan.ca/bienvenue/default.htm).
Je reprends la définition de la philia que nous avons retenue:
La philia, quel que soit l'équivalent français adopté,
c'est la réserve de chaleur humaine, d'affectivité,
d'élan et de générosité (au-delà de la froide impartialité
et de la stricte justice ou de l'équité) qui nourrit et stimule
le compagnonnage humain au sein de la Cité : et cela à
travers les fêtes, les plaisirs et les jeux comme à travers
les épreuves. La philia, c'est aussi le sentiment désintéressé
qui rend possible de concilier, comme le veut Aristote, la
propriété privée des biens et l'usage en commun de ses
fruits, conformément au proverbe – repris par l'auteur
de la Politique à l'appui de sa thèse opposée à celle de Platon
– qu'entre amis "tout est commun".
JEAN-JACQUES CHEVALIER, Histoire de la pensée politique,
tome 1, Payot, Paris 1979.